MNSE signifie Les matchs nul saisonniers par équipe
quelle est la catégorie de cotes qui ne descend jamais en dessous de 2,8 et qui peut monter jusqu’à 4 ?
Oui, il s’agit bien des matchs nuls. Alors peut-on en profiter ? A la base il y a l’idée d’appliquer la martingale, à savoir doubler la mise, à chaque fois qu’on perd, mais le grand problème de cette technique, c’est qu’en cas de mauvaises séries, on peut ne plus être dans la mesure de payer la mise suivante.
Comment limiter les risques
Sachant que la cote d’un match nul vaut la plupart du temps 3 (on se servira de cette valeur comme référence), il est donc inutile de doubler la mise à chaque fois: Au lieu d’utiliser le taux 2 (martingale) voyons avec 1,5
On voit que 1,5 comme taux permet de tirer des bénéfices mais un peu maigre, et qu’entre deux matchs nuls le bénéfice redevient négatif. Ce n’est donc pas idéal.
La technique MNSE pour gagner sur les matchs nuls au football
En une phrase : « Parier sur les matchs nuls de la même équipe tout au long d’une saison »
ATTENTION ! Si vous souhaitez diminuer les risques de pertes et maximiser les chances de gain sur vos paris sportifs, je vous conseille de faire confiance à un outil de prédiction plutôt qu’à un pronostiqueur « émotionnel ». Mon choix : PRONOSCRIPT.
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L’analyse des huit dernières saisons de ligue 1 démontrent qu’il y a environ 10 matchs nuls par saison par équipe. Sachant qu’il y 38 journées il y a un match nul environ tous les 4 matchs pour la même équipe. bien sur c’est une statistique, le PSG par exemple est loin de ce taux actuellement!
Quelle taux miser pour gagner sur les matchs nuls avec la technique MNSE
Comme vu auparavant, doubler la mise à chaque fois est trop dangereux, mais le taux 1,5 n’est pas assez rentable.
Taux conseillé : 1,75
Regardons ce que ça donne sur le même exemple :
On voit que ça commence à devenir intéressant, ici j’ai volontairement pris l’exemple d’une mauvaise série avec 5 matchs d’affilés sans matchs nuls, on voit qu’à la 6e journée on doit miser 16,41 € contre 32 € si on avait suivit une martingale. Cette technique permet donc de limiter les risques d’élévation trop rapide des mises, de plus on voit qu’une fois le premier match nul atteint on reste tout le temps dans le vert (à moins d’une mauvaise série)
Premier bilan et quelques remarques sur la méthode MNSE
Comme je vous l’ai démontré par l’exemple, la technique MNSE consiste à multiplier la mise en cas de pari perdu par un taux (ici 1,75) jusqu’à temps d’arriver au fameux match nul et repartir de la mise initiale (ici 1 €)
Le taux 1,75 est la référence de la technique MNSE simple
Un paradoxe de la technique, c’est qu’il faut souhaiter avoir des « mauvaises séries » au départ, en effet, plus on met de temps à avoir un nul, plus les bénéfices seront importants.
En 8 ans il est arrivé qu’une équipe ne fasse que 5 matchs nuls en une saison. C’est pourquoi une fois le 5e match nul atteint, il convient de regarder combien de journées il reste dans la saison pour voir si ça vaut le coups de continuer.
Si jamais vous arrivez à la fin de la saison avec un objectif de match nul non atteint, la solution consiste à attendre le début de la saison prochaine et de reprendre comme si c’était la même saison. L’idéal étant d’éviter cette situation.
Comment choisir l’équipe qu’on suivra toute la saison ?
Je déconseille vivement de prendre un promu. L’idéal est de prendre une équipe qui a finit au milieu de tableau la saison précédente avec un beau paquet de match nuls (Bordeaux par exemple).
Variante : MNSE sur les matchs nuls à taux variables
Si on généralise les 8 dernières saisons, il y a donc
- 100% de chance qu’il y est au moins 1 match nul
- 100% de chance qu’il y est au moins 2 matchs nuls
- 100% de chance qu’il y est au moins 3 matchs nuls
- 100% de chance qu’il y est au moins 4 match nuls
- 99,375% de chance qu’il y est au moins 5 match nul
L’idée est d’en profiter un installant la même technique (MNSE) mais avec un taux variable, même si les sommes peuvent monter rapidement, on est sûr sur les 4-5 premiers nuls d’arriver à notre objectif
Bilan sur la MNSE à taux variable
Sur l’exemple, on baisse le taux de 0,05 après chaque match nul.
Libre à vous de choisir les différents paliers de taux, il est possible par exemple de faire les 4 premiers paliers au même taux (100% de probabilité d’arriver au match nul selon les statistiques du dessus).
Mais n’oubliez pas qu’à partir de 2 ça grimpe très vite. Et je vous incite tout de même à baisser le taux après chaque match nul histoire de rester prudent et de prendre l’habitude de le baisser.
l’avantage de cette variante par rapport à la MNSE fixe à 1,75 et que l’on voit une nette augmentation du bénéfice
Variante : MNS à équipe variable
C’est exactement la même chose que la MNSE à taux fixe mais on change d’équipe, comment faire alors ? On choisit l’équipe qui a réalisé le moins de matchs nuls de la saison (or promus qui seraient en zone reléguable, c’est une sécurité) tant que cette équipe là ne fait pas un match nul, on va se comporter avec comme si on faisait une MNSE, dès le match nul commit, on change d’équipe pour prendre celle qui a le moins de matchs nuls au compteur à nouveau.
avec cette technique on arrive à des fréquences de matchs nuls plus élevés et des gains plus réguliers.
Variante : MNS à équipe et taux variable
Même concept que la technique MNS à équipe variable, la seule différence, c’est qu’on s’inspire de la MNSE à taux variable :
Quand on choisit une équipe on hôte 0,05 x (le nombre de matchs nuls qu’elle a fait jusqu’à présent) au taux originel, par exemple de 1,9 comme conseillé.
Astuces
Nous avons donc vu 4 techniques (1 techniques et 3 variantes). Ce que je vous conseille, c’est de faire 1 ou 2 MNSE par saison + un MNS à équipe et taux variable.
Et je vous recommande de parier sur toutes les journées, même si le match nul vous semble absurde contre telle ou telle équipe.
Cette technique peut être jouée sur tous les championnats d’Europe, ce qui multipliera vos gains 😉
Vous pouvez utiliser un bonus pour commencer cette technique sans risque !
